https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/issue/feedRevue Marocaine des Sciences Agronomiques et Vétérinaires2024-03-25T12:38:51+01:00Ahmed BAMOUHa.bamouh@agrimaroc.orgOpen Journal Systems<p>Revue multidisciplinaire qui publie des articles originaux de recherche et des revues de littérature dans les domaines de l'agriculture, de l'agronomie, de l'ingénierie rurale, de la topographie, de la foresterie, de l'horticulture, de l'alimentation, de la nutrition, de la zootechnie et des sciences vétérinaires (online-ISSN: 2550-4401, print-ISSN: 2028-991X). Indexée par <a href="https://doaj.org/toc/2550-4401?source=%7B%22query%22%3A%7B%22filtered%22%3A%7B%22filter%22%3A%7B%22bool%22%3A%7B%22must%22%3A%5B%7B%22terms%22%3A%7B%22index.issn.exact%22%3A%5B%222028-991X%22%2C%222550-4401%22%5D%7D%7D%5D%7D%7D%2C%22query%22%3A%7B%22match_all%22%3A%7B%7D%7D%7D%7D%2C%22size%22%3A100%2C%22sort%22%3A%5B%7B%22created_date%22%3A%7B%22order%22%3A%22desc%22%7D%7D%5D%2C%22_source%22%3A%7B%7D%7D">DOAJ</a>, <a href="https://scholar.google.com/citations?hl=fr&user=RxRmEeIAAAAJ">Google Scholar</a>. <a href="https://doaj.org/toc/2550-4401?source=%7B%22query%22%3A%7B%22filtered%22%3A%7B%22filter%22%3A%7B%22bool%22%3A%7B%22must%22%3A%5B%7B%22terms%22%3A%7B%22index.issn.exact%22%3A%5B%222028-991X%22%2C%222550-4401%22%5D%7D%7D%5D%7D%7D%2C%22query%22%3A%7B%22match_all%22%3A%7B%7D%7D%7D%7D%2C%22size%22%3A100%2C%22sort%22%3A%5B%7B%22created_date%22%3A%7B%22order%22%3A%22desc%22%7D%7D%5D%2C%22_source%22%3A%7B%7D%7D">Articles DOAJ</a>, <a href="https://reseau-mirabel.info/revue/5308/Revue-marocaine-des-sciences-agronomiques-et-veterinaires">Mirabelle</a>, <a href="https://portal.issn.org/resource/issn/2550-4401">ROAD</a>, <a href="https://www.worldcat.org/title/revue-marocaine-des-sciences-agronomiques-et-veterinaires/oclc/882795093">WorldCat</a></p> <p> </p>https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1490REMAV 12(1) Mars 20242024-03-19T13:20:17+01:00A. Editoragrimaroc@vulgarisation.net<p>Sommaire 12(1)</p>2024-02-10T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1486Caractérisation physico-chimique des miels collectés dans la région de Béni Mellal-Khénifra2024-03-21T14:29:34+01:00Mourad CHIKHAOUIchimoura7@gmail.comChaimaa ELAGDIchaimaagdi@gmail.comWadi BADRIw.Badri@gmail.comJamal MOUSLIMjammouslim@yahoo.frHouda EL HAJJOUJIelhajjouji.ispits@gmail.com<p>Pour étudier leur qualité physico-chimique, quatre types de miel ont été échantillonnés dans la région de Beni Mellal-Khénifra au Maroc: miel d'agrumes, miel d'euphorbe, miel d'anis et miel de caroube. Cinq paramètres physico-chimiques ont été analysés: teneur en humidité, conductivité électrique, teneur en cendres, pH et hydroxyméthylfurfural (HMF). Les résultats ont montré des différences significatives dans la composition physico-chimique entre les divers échantillons de miel analysés. À l'exception du miel d'agrumes, tous les autres échantillons de miel sont conformes aux normes de qualité établies.</p> <p> <strong>Mots-clés</strong>: Miel, Béni Mellal-Khénifra, Caractéristiques physico-chimiques</p>2024-03-22T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1473Effets du zaï et du nombre de plants par poquet sur la croissance et le rendement du mil (Pennisetum glaucum) en milieu sahélien paysan au Niger2024-03-21T14:30:30+01:00Younoussou RABOraboyounoussou@gmail.comIdi Saidou SANIraboyounoussou@gmail.comAli MAHAMANEraboyounoussou@gmail.com<p>Le mil est l’une des plantes alimentaires les plus cultivées au Niger. Cette étude, menée dans le village de Digargo au Niger, a pour objectif d’évaluer les effets combinés du zaï et du nombre de plants par poquet sur les paramètres de croissance et de rendement du mil. Un dispositif expérimental en randomisation totale avec trois (3) répétitions a été mis en place et deux (2) facteurs ont été étudiés. Le facteur (A) a deux (2) niveaux A1 et A2 où le mil est semé respectivement sur un sol traité en zaï et sur un sol témoin et le facteur (B) nombre de plants par poquet avec cinq (5) niveaux (B1, B2, B3, B4 et B5). Les meilleurs rendements en grains ont été obtenus sur les sols traités en zaï avec trois (3) et quatre (4) plants par poquet, notamment A1B3 et A1B4, avec respectivement 2523 et 2187 kg/ha. D’autre part, l’ACP montre que les traitements A1B3 et A1B4 se caractérisent par un bon rendement en épis, en grains et un poids élevé des mille grains. Le traitement en zaï contribue à améliorer les rendements des cultures et peut être proposé pour une gestion agroécologique de la fertilité des sols.</p> <p><strong>Mots clés: </strong>Mil, zaï, croissance, rendement, Niger</p>2024-03-15T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1485Efficacité économique des producteurs de maïs et du soja adoptant la gestion intégrée de fertilité des sols comme technique d’adaptation aux changements climatiques au Nord du Bénin2024-03-21T14:29:34+01:00Roger C. BAMBANIrbambanichab@gmail.comFifanou VODOUHEvodouhefifanou@gmail.comJacob YABIjacob.yabi@fa.up.bjEustache ALAYErbambanichab@gmail.com<p>Les stratégies de gestion intégrée de fertilité des sols (GIFS) vulgarisées ou endogènes adoptées dans l’ouest de l’Atacora au nord du Bénin pourraient contribuer à l’amélioration des rendements agricoles des producteurs. Cette étude a pour objectif d’analyser l’effet de ces stratégies sur l’efficacité économique des producteurs du maïs et du soja dans l’ouest de l’Atacora au nord du Bénin. Les fonctions frontières stochastiques de production et de coût de type Cobb-Douglass ont été estimés pour analyser les niveaux d’efficacité économique. L’analyse des résultats par typologie de stratégies révèle que les producteurs du Groupe 2, ayant adopté les stratégies de régénération des sols à base de légumineuses et l’utilisation de matières organiques, ont vu leur niveau d’efficacité économique amélioré de 45,9% pour le maïs et 71,1% pour le soja comparativement aux producteurs du Groupe 1 qui ont adopté les autres stratégies qui ont obtenu des gains de 35,4% pour le maïs et 52, 8% pour le soja. L’estimation économétrique montre que le genre, la vulgarisation, l’expérience, les ressources disponibles (main-d’œuvre), la taille du ménage, la formation, la superficie emblavée, l’accès au crédit et l’adoption des stratégies GIFS ont significativement influencé le niveau d’efficacité économique des producteurs aussi bien du maïs que du soja.</p> <p><strong>Mots clés:</strong> Adaptation, gestion intégrée, fertilité, sol, efficacité économique</p>2024-03-21T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1476Performances zootechniques des caprins nains (Capra aegagrus hircus) nourris à base de Panicum maximum et Pueraria phaseoloides2024-03-21T14:30:29+01:00Alex Stéphane Affian EMANFOemanfoalex@gmail.comKouamelan Jacques TCHINOUjacquestchimou123@gmail.comYatanan casimir BLEyatanan12@hotmail.fr<p>L’élevage des caprins nains en Afrique subsaharienne est très peu modernisé. Plusieurs facteurs zootechniques de production ne sont pas maîtrisés par les éleveurs. Ainsi, l’objectif de notre étude était de déterminer quelques paramètres zootechniques des caprins nains nourris à base de fourrage. Ainsi, 30 caprins nains ont été nourris avec deux espèces de fourrages: <em>Panicum</em><em> maximum</em> et <em>Pueraria phaseoloides</em>. Chaque espèce fourragère a été présentée aux animaux sous trois formes: (1) fourrage non découpé; (2) fourrage découpé en brins de 10 cm; et (3) fourrage découpé en brins de 3 cm. Les résultats ont montré que les quantités moyennes journalières de fourrage frais ingérées (g) ont varié de<strong> </strong>1649 g<strong> </strong>à 1839 g par jour et par caprin. De plus, le fourrage présenté en brins de 3 cm a été significativement plus consommé. Par ailleurs, les caprins nains ont consommé une plus grande quantité de <em>P. phaseoloides. </em>Ces résultats permettrons aux éleveurs d’affiner leur prévisions fourragères et d’éviter le gaspillage du fourrage par les caprins.</p> <p><strong>Mots clés:</strong> fourrage, <em>Panicum, Pueraria</em>, caprin nain, paramètres zootechniques</p>2024-03-15T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1483Teneurs des feuilles en minéraux aux stades végétatifs de quatre variétés de Brachiaria brizantha, une espèce fourragère à grand potentiel2024-03-21T14:29:34+01:00Maurice NGAKPAngakpamaurice@gmail.comRoger Lafleur MUSALIZIlafleur.musalizi@unikis.ac.cdJean Pierre MUKANDAMAmukajp@yahoo.frJoseph SAILEjsaileisaka@yahoo.com<p>Cette étude a déterminé la variation des teneurs en Ca, Mg, Fe et silice dans les feuilles des variétés Xaraes, Piata, Marandu et Locale de <em>Brachiaria brizantha</em> pour vérifier l’hypothèse selon laquelle les teneurs en minéraux susmentionnés de ces variétés au stades début, plein et fin tallage sont suffisantes en alimentation du bétail. Après culture dans un dispositif expérimental de blocs aléatoires complets et analyses au laboratoire, les résultats ont montré que les teneurs en Ca, Mg, Fe et silice de <em>Brachiaria brizantha</em> varient selon la variété et stade végétatif. Ces teneurs dans les différentes variétés et aux stades début, plein et fin tallage ont varié de 0,30 à 0,42 % pour Ca; de 0,20 à 0,39 % pour Mg; de 0,14 à 0,21 % pour Fe, et de 2,5 à 6,0 % pour la silice. L’analyse de variance indique qu’il existe des différences significatives entre les variétés et entre les stades végétatifs pour les teneurs en Ca, Mg, Fe et silice. Par rapport aux besoins du bétail, les teneurs en calcium, magnésium et fer enregistrées dans les variétés aux différents stades végétatifs sont suffisantes pour l’alimentation du bétail, tandis que les teneurs en silice ne sont pas préjudiciables pour le bétail, car inférieures à 10%.</p> <p><strong>Mots clés:</strong> <em>Brachiaria brizantha</em>, variété, stade végétatif, minéraux, bétail</p>2024-03-16T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1488Réseautage social et conduite de la transhumance au Nord Bénin2024-03-21T14:29:33+01:00Razak KOTCHONIraz.kotchoni@gmail.comAnge-Honorat EDJAhonorat.edja@gmail.com<p>Cet article décrit les différentes relations que éleveurs les transhumants entretiennent avec les différents acteurs durant leurs trajets. A cet effet, les données ont été collectées auprès de 52 transhumants choisis de façon aléatoire, en se positionnant à l’entrée des pistes de transhumances. Les principales données collectées sont relatives à l’organisation sociale de la mobilité, aux formes d’accès à l’espace pastoral dans les sites d’accueil, à la nature des interactions avec les acteurs locaux et aux rôles des structures d’appui dans le processus de la transhumance. Les résultats indiquent que durant leur séjour sur un territoire, les transhumants entretiennent diverses relations avec les hôtes, à savoir la recherche d’information, la monétarisation pour l’accès aux infrastructures pastorales, l’achat des fourrages, des contractualisations pour l’exploitation des résidus de récoltes ou des contrats de parcage des bœufs dans les champs après les récoltes. Ils entretiennent également des relations de clientélisme avec des structures étatiques, dont l’Agence Territoriale de Développement Agricole (ATDA) et le chef poste vétérinaire ou la Section Communale des Eaux, Forêts et Chasse.</p> <p><strong>Mots clés:</strong> Réseautage social, transhumance, réciprocité, Banikoara, Bénin</p>2024-03-22T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1463Importance socio-économique des produits forestiers non ligneux dans la région des savanes du Togo2024-03-21T14:30:30+01:00Kokou KPEGLOkoumoiachraf19@gmail.comachraf KOUMOIkoumoiachraf19@gmail.comFousseni FOLEGAkoumoiachraf19@gmail.comMadjouma KANDAkoumoiachraf19@gmail.comOyetunde DJIWAkoumoiachraf19@gmail.comKomlan BATAWILAkoumoiachraf19@gmail.com<p>La présente étude porte sur l’importance socio-économique des Produits Forestiers Non Ligneux (PFNL) dans la région des savanes du Togo. Au total 56 espèces ont été recensées reparties en 52 genres et 29 familles. La famille des Leguminosae-Mimosoideae composée de 8 espèces est la plus représentée. Toutes les espèces recensées ont une importance pour les ménages et des populations. En termes d’usage, 36 % des espèces citées ont un usage alimentaire, 32 % un usage économique et 22 % un usage médicinal. Les espèces ayant les indices de valeur d’importance élevées sont Vitellaria paradoxa, Parkia biglobosa, Vitex doniana et Borassus aethiopum. Pour les produits retenus, les acteurs sont principalement les producteurs ou collecteurs, les commerçants de matière première, les transformateurs et les consommateurs. Mise à part les différents usages des organes des PFNL, ils constituent également une source de revenu pour les ménages. Pour le V. paradoxa, P. biglobosa et T. indica, les noix, les graines et les fruits sont les organes les plus commercialisés, soit à l’état brut ou transformés. Les revenus de ce commerce sont utilisés pour améliorer les conditions de vie des populations rurales. La production de ces PFNL se fait dans les milieux ruraux alors que leur vente se fait dans les centres urbains dont le principal est le grand marché de Dapaong.</p> <p><strong>Mots clés:</strong> Produits forestiers non ligneux, filière, socio-économique, savane, Togo</p>2024-03-15T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1478L’exploitation des carrières apporte-t-elle un plus à la biodiversité au Nord Bénin ?2024-03-25T12:38:51+01:00Narcis Togbédji TOHINDEtonato2011@gmail.comPélagie Éméline Sêssi ASSÉDÉassedeemeline@gmail.comRodrigue Ogoulonou BALAGUEMANrodriguebalagueman@gmail.comHonoré Samadori Sorotori BIAOUhbiaou@gmail.comArmand Kuyéma NATTAarmand.natta@gmail.com<p>L'étude visait à tester l'hypothèse selon laquelle les carrières abandonnées pourraient améliorer la diversité floristique locale contrairement à l'opinion répandue selon laquelle l'exploitation des carrières nuit à la biodiversité. Pour ce faire, un inventaire a été réalisé dans 30 placettes carrées (30 m x 30 m), dont 16 installées dans les carrières abandonnées et 14 dans des formations naturelles adjacentes (sites de référence). Les indices de diversité (Richesse, Chao1, Chao2, Jack1, Jack2, Shannon et Equitabilité) ont été calculés et comparés entre les deux types d'écosystèmes. Les résultats indiquent que la diversité floristique ne présente pas de différence significative entre les deux écosystèmes. Cependant, la richesse spécifique s'avère plus importante au niveau des sites de référence (62 espèces végétales) que dans les carrières (55 espèces végétales). Une forte similarité floristique (50% à 90%) a également été observée entre les deux types d'écosystèmes. Les Fabaceae constituent la famille dominante dans les deux écosystèmes (39,3 % à 40,8 %). Il en ressort que les carrières abandonnées n'ont pas eu d'impact significatif sur la diversité floristique locale, contrairement aux attentes. Ce résultat pourrait être attribué à l'absence de différenciation de niche écologique après l'excavation, un aspect qui nécessite une investigation approfondie dans les étude futures.</p> <p><strong>Mots clés: </strong>Carrière post-exploitation<strong>, </strong>Excavation, Biodiversité, Bénin</p>2024-03-15T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##https://agrimaroc.org/index.php/Actes_IAVH2/article/view/1481Activité antibactérienne de l’extrait aqueux de trois plantes à usage médicinal en Côte d’Ivoire, Olax subscorpiodea, Guiera senegalensis et Psorospermum guineense2024-03-21T14:29:34+01:00Yao KANGAkanga.yao@yahoo.frGbouhoury Eric-Kévin BOLOUkanga.yao@yahoo.frDramane SOROkanga.yao@yahoo.fr<p>L’objectif de cette étude était d’évaluer les effets antibactériens de l’extrait aqueux des feuilles de Olax subscorpioidea et de Guiera senegalensis et des écorces de tige de Psorospermum guineense, trois taxons utilisés dans la ville de Korhogo (Côte d’Ivoire) dans le traitement des infections cutanées. Les méthodes de diffusion et de dilution sur Muller-Hinton ont permis d’évaluer l’activité antibactérienne des extraits aqueux. Toutes les souches cliniques testées sont résistantes à l’extrait aqueux des feuilles de Olax subscorpioidea, à l’exception des souches de références ATCC. Cependant, elles sont sensibles aux extraits aqueux des feuilles de Guiera senegalensis et des écorces de tige de Psorospermum guineense. Les trois plantes ont donné des valeurs de CMI qui sont comprises entre 1,56 mg/mL et 50 mg/mL et des CMB compris entre 6,25 mg/mL et 50 mg/mL sur les souches cliniques. Sur l’ensemble des tests, seul les extraits aqueux de Guiera senegalensis et Psorospermum guineense ont eu un pouvoir bactéricide sur la souche clinique de Pseudomonas aeruginosa. Le dosage des phyto-constituants a permis de quantifier différents composés chimiques présents dans les différents extraits aqueux de Olax subscorpiodea, Guiera senegalensis et Psorospermum guineense. Ce sont les alcaloïdes, les terpènoïdes, les saponines, les polyphénols et les tanins. Les polyphénols sont les phyto-constituants majoritaires (7,26 mg/mL), suivis des saponines (3,98 mg/mL). Les extraits aqueux de Guiera senegalensis et Psorospermum guineense pourraient constituer une bonne alternative dans le traitement des maladies infectieuses.</p> <p><strong>Mots clés:</strong> extrait aqueux, activité antibactérienne, bactéricide, Korhogo</p>2024-03-15T00:00:00+01:00##submission.copyrightStatement##