Régime alimentaire des poissons de la rivière Lomami, RD du Congo
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Régime alimentaire, poisson, rivière LomamiRésumé
Une étude sur le régime alimentaire des poissons de la rivière Lomami a été menée sur une période de 8 mois, Février à Octobre 2012, dans le territoire de Katako-kombe pour évaluer les préférences alimentaires de son ichtyofaune. Ainsi, l’observation qualitative des contenus des estomacs de différents poissons capturés a été faite au laboratoire pour trouver les préférences alimentaires des poissons en calculant le taux d’occurrence ou de préférence. Les résultats obtenus ont montré que les poissons de la rivière Lomami ont un régime alimentaire diversifié: les espèces Tilapia nyongana et Oreochromis niloticus sont phytophages à tendance omnivore; le Clarias angolensis et le Chanallabes apus sont polyphage à tendance vorace le Chrysichthys wagenaarii est benthophage à tendance vorace et enfin le Mormyrops zanclirostris est polyphage à tendance herbivore. Ces résultats en rapport avec le régime alimentaire de poissons capturés vont permettre aux pisciculteurs intéressés de faire le choix du type des poissons à élever, en rapport avec la disponibilité de l’aliment localement.
Mots clés: Régime alimentaire, poisson, rivière Lomami
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INTRODUCTION
Les poissons sont une source importante de nutriment, vitamines et minéraux et pris uniquement avec certains produits végétaux, il constitue un aliment complet (Adjanke, 2011). Les poissons constituent des sources non négligeables de protéines, de revenus et de travail, soutenant ainsi les ménages (Kpogue et al., 2013). Ils sont également une opportunité d’affaires tant pour la pêche que pour l’aquaculture et l’industrie (Bosanza et al., 2019). Mais des prélèvements de plus en plus conséquents pour satisfaire les besoins nutritionnels sans aucune considération pour les stocks exploités, conduisent non seulement à la destruction de ces écosystèmes, mais également à l’extinction de certaines espèces (Mukabo et al., 2017).
En République Démocratique du Congo, depuis toujours, la pêche constitue une source importante d’aliments, assurant un emploi et des bénéfices économiques à ceux qui la pratiquent. Toutefois, avec l’enrichissement des connaissances et le développement dynamique du secteur des pêches, on commence à comprendre que les ressources aquatiques, quoique renouvelables, ne sont pas infinies et doivent être gérées correctement si l’on veut maintenir leur contribution au bien être nutritionnel, économique et social de la population croissante de la planète.
En outre, les activités anthropiques, les engins de pêche utilisés et la pression de plus en plus croissante sur la biodiversité, poussent l’humanité à entreprendre des études beaucoup plus poussées pour sauvegarder les habitats des poissons et de les conserver pour les générations à venir (Bosanza et al., 2023). Les méthodes artisanales de pêche, séculairement pratiquées, sont loin de pallier à la situation d’insuffisance alimentaire en produits halieutiques (Bosanza et al., 2018) et l’aquaculture apparaît donc comme la seule solution pour augmenter la disponibilité en produits aquatiques (Teletchea, 2015).
La province de Sankuru compte de nombreux cours d’eaux (Lokenye, Sankuru, Lubefu, Lomami, Lomela, etc.) très poissonneux regorgeant de familles de poissons (Distichodontidae, Claroteidae, Clariidae, Chanidae, etc.) à valeur commerciale et nutritionnelle très importante (Wembodinga et al., 2013a et 2014). Ces poissons, qui peuplent ces écosystèmes aquatiques, n’ont pas encore fait l’objet d'étude particulière en ce qui concerne leur régime alimentaire. Pourtant, la connaissance de celui-ci permettra aux pisciculteurs de faire le choix du type de poisson à élever, en rapport avec la disponibilité de l’aliment localement.
Face à cette préoccupation, il s’avère nécessaire de mener une étude pour déterminer le régime alimentaire des quelques espèces des poissons capturées dans la rivière Lomami afin de mettre à la disposition de pisciculteurs, les données y afférentes étant donné que l’alimentation constitue l’épine dorsale de tout élevage.
L’idée soutenue dans cette étude est que les poissons de la rivière Lomami auraient un régime alimentaire varié. La connaissance du régime alimentaire des espèces à élever va permettre à l’exploitant piscicole de réaliser un bon rendement à la vidange, ce qui va constituer une source de revenu et de protéines pour les ménages.
MATÉRIEL ET MÉTHODES
Localisation
La présente étude couvre une période de 8 mois, de Février à octobre 2012. Elle a eu lieu dans le territoire de Katako-kombe où se trouve la rivière Lomami qui prend sa source dans la province de Lomami et déverse ses eaux sur le fleuve Congo à Isangi, dans la Province de Tshopo.
Le village Olota (22°03’S et 23°04’E) a été choisi comme terrain d’étude, en raison d’une part de l’affluence des pêcheurs et des commerçants (milieu de transaction intense entre les pêcheurs et les commerçants Tetela et Nkusu) et d’autre part, de l’immense élargissement de la rivière à son niveau et du nombre élevé des pêcheurs (au moins 150 pêcheurs) de la place.
Il est situé dans le territoire de Katako-kombe, aux croisements des routes qui mènent de Wembo-Nyama vers le village proche nommé Mbanda. Le village Olota est entouré par trois groupements: Mbanda et Ndjadi situés dans le territoire de Katako-kombe et Djundu dans le territoire de Lubefu.
C’est le long de la rive gauche de la rivière Lomami qu’on trouve des pêcheurs, particulièrement ceux du Sankuru (Tetela) et ceux de la province de Tshopo (Wagenia et Lokele), tandis que la rive droite est dans la partie de la province de Maniema habitée par les Nkusu (Wembodinga, 2014). La rivière a été également exploitée sur une distance de 5 Km.
Matériel
Le matériel biologique de cette étude était constitué des poissons sauvages, capturés dans la rivière Lomami. Les contenus stomacaux et intestinaux provenant de poissons frais capturés tout au long de la période expérimentale ont été prélevés grâce au matériel classique de dissection pour identification au laboratoire à l’aide de la binoculaire de marque Eleitz Wetzlar, grossissement de 10 fois.
Méthodes du travail
Au Laboratoire, l’examen des récoltes a consisté à trier et identifier les espèces des poissons capturés et détecter le régime alimentaire. Pour le tri et l’identification des espèces de poissons, certaines familles ou genres de poissons africains ont déjà fait l’objet d’une révision systématique et on dispose de clés de détermination à leur sujet. C’est le cas par exemple du genre Clarias (Teugels, 1986), du genre Alestes (Paugy, 1986), du genre Tilapia (Thys, 1964), du genre Hemichromis (Loiselle, 1969) et des Characidés nains (Poll, 1967). Pour d’autres familles ou genres dont la clé n’est pas disponible, quelques ouvrages et publications éparses ont servi de guide, notamment Poll (1945 et 1957), Matthes (1969), Lèvêque et al., (1990) et Wamuini (2010).
A propos du régime alimentaire, il a été déterminé par le retrait de l’estomac et en le déposant sur les boîtes de pétri contenant la solution de lugol. En ouvrant l’estomac à l’aide d’un bistouri et d’une spatule, l’observation des différentes proies a été faite une à une pour mieux les identifier qualitativement.
Les préférences alimentaires de l’ichtyofaune de la rivière Lomami ont été obtenues en calculant l’indice d’occurrence ou de préférence (I, exprimée en pourcentage d’estomacs examinés) en appliquant la formule donnée par Plisnier (1984) à savoir:
I (%) = (NA/NT) x 100
où NA est la fréquence d’estomac retiré et NT, la fréquence totale.
Pour effectuer le prélèvement des aliquotes intestinaux, après l’identification de l’espèce, les specimens ont subi une laparotomie, de la mandibule rostrale à l’anus. Les deux joues abdominales incisées étaient écartées par le pouce et l’index pour permettre de bien retirer le tube digestif au moyen de la pince. Le tube digestif retiré est déposé dans une boîte de pétri. La partie du tube située près du pharynx bien chargée en contenu était retirée, ouverte et son contenu déversé dans une autre boite de Pétri ne contenant que de l’eau distillée. L’identification et/ou la différenciation des proies ingérées a été facilité l’agitation du contenu dans l’eau en vue de le séparer. Chaque contenu a ensuite été déposé sur le papier duplicateur blanc.
L’identification des grandes proies se faisait par perception visuelle à l’aide d’une loupe, tandis que celle des petites proies se réalisait à la binoculaire. Quant à l’Identification analytique des proies, les proies ont été décelées au niveau stomacal par le dénombrement. Pour rendre compte des résultats des tris, la méthode d’occurrence a été utilisée. Cette méthode est qualitative et donne une idée des préférences alimentaires. Elle consiste à compter le nombre d’estomacs dans lesquels une proie ou une catégorie de proies est présente ou absente. Les résultats sont exprimés en pourcentage par rapport au nombre d’estomacs examinés (% occurrence).
Enfin, la taille de l’échantillon d’étude a été de 1 606 spécimens de poissons capturés durant la période de l’étude. Le recours au tableur Excel (version 2010) sous Microsoft Windows 8 a été nécessaire générer les graphiques.
RÉSULTATS ET DISCUSSION
Au total 1 606 poissons ont été capturés pendant la période d’étude. Ils sont répartis en familles (Mormyridae, Clariidae, Cichlidae, et Claroteidae) et 7 espèces (Figure 1).
Avec 19% d’individus, l’espèce Chrysichthys wagenaarii a été la plus capturée tandis que l’espèce Tilapia nyongana a été la moins représentée (9%).
Les résultats des indices d’occurrence ou de préférence des différents types de proies sont présentés et illustrés sous forme de camembert et graphique pour chaque type de poissons capturés.
Il ressort de la figure 2 que les proies dominantes sont d’origine végétale (37,5%) puis les proies d’origine animale (33,9%) et enfin les autres proies n’ont contribué qu’à 28,6%.
Tenant compte de l’importance de chaque type de proies décelées, les débris végétaux sont les plus représentés (soit 10,4%), suivis des algues vertes (8,6%), des matières organiques et des débris divers (7,1% respectivement), de la boue et des fibres (6,4% chacun) puis des débris végétaux (6,1%), le gravier/sable (5,7%) et les hyménoptères (soit 5,4%). Les diptères, les coléoptères, les particules indéfinies, les alevins et les restes de poissons, les poils ou soie et les écailles de poissons ont contribué respectivement à 5%, 5%, 5%, 4,6%, 4,3% et 3,9% chacun. Au regard de nos résultats, nous pouvons dire que le Oreochromis niloticus est phytophage à tendance omnivore.
Régime alimentaire de quelques poissons du genre Tilapia capturés dans la rivière Lomami
De la figure 3, il s’observe que les proies d’origine animale sont les plus dominantes avec 50,7%, suivies des proies d’origine végétale (30,7%) et enfin les autres proies (soit 18,6%). Les proies les plus fréquentes dans l’estomac de Tilapia nyongana sont les débris de poissons, suivi de débris végétaux, de débris animaux et morceaux de bois. Ce qui rvèle que l’espèce Tilapia nyongana est polyphage à tendance omnivore dans la rivière Lomami.
Les résultats de la figure 4 montrent que les proies d’origine végétale sont les plus dominantes (42,6%), suivies de celles d’origine animale (33,3%). Les autres proies n’ont contribué que pour 24,0%. Ceci traduit que l’espèce Tilapia guineensis est phytophage à tendance omnivore.
Régime alimentaire de quelques poissons du genre Clarias capturés dans la rivière Lomami
Concernant quelques poissons du genre Clarias capturés dans la rivière Lomami, la figure 5 donne les indicateurs sur leur régime alimentaire.
Pour Clarias angolensis, les proies dominantes sont d’origine animale (38,6%), suivi des autres proies (33,1%) puis les proies d’origine végétale (28,3%). Il apparaît clairement que cette espèce est polyphage à tendance vorace.
Pour le régime alimentaire de quelques poissons du genre Channallabes capturés dans la rivière Lomami, la figure 6 illustre clairement que les proies d’origine animale sont les plus dominantes (45,7%), suivi des proies d’origine végétale (31,8%), les autres proies n’ont contribué qu’avec 22,4%.
Pour cette espèce, les proies les mieux représentées sont les ailes d’insectes (11,0%), les pattes d’insectes (8,9%), les écailles de poissons et la boue (8,6% chacun), les algues vertes (8,1%), suivi des matières organiques (6,9%), des débris végétaux (6,1%) enfin les particules indéfinies et les hyménoptères (5,7% et 5,3% pour chaque cas). On peut conclure que Channallabes apus est polyphage à tendance vorace dans la rivière Lomami.
Régime alimentaire de quelques poissons du genre Chrysichthys capturés dans la rivière Lomami
L’examen de la figure 7, montre que les proies d’origine animale se sont avérées plus dominantes (soit 45,0%), suivi des autres proies (soit 32,3%), puis les proies d’origine végétale (soit 22,7%).
En outre, les résultats montrent que les proies les plus représentées sont les particules indéfinies (9,7%), les débris de poissons (soit 9,3%), les débris animaux (9,0%), puis les ailes d’insectes et les débris divers (8,7% chacun),le sable/graviers (7,3%), les débris d’insectes, la boue, les Chironomidés, et hyménoptères ont contribué chacun à 6,7%, 6,7%, 6,0% et 5,3% respectivement. Comme on peut le remarquer l’espèce Chrysichthys wagenaarii est polyphage à tendance vorace.
Régime alimentaire de quelques poissons du genre Mormyrops capturés dans la rivière Lomami
A la lumière de la figure 8, il sied de constater que les proies dominantes sont d’origine animale (37,3%), les proies d’origine végétale et les autres proies ont contribué avec 31,4% chacune. Il se dégage également que les proies les plus abondantes sont les graviers/sable, la boue, les poils ou la soie, les particules indéfinies (7,8% chacun), suivi des débris végétaux, des téguments de grains, des algues vertes et des matières organiques (respectivement 6,9%). Les restes ont contribué respectivement à 4,9% et 4,4%. Il est évident que Mormyrops zanclirostris est polyphage à tendance herbivore.
Au regard de nos résultats sur le régime alimentaire des poissons de la rivière Lomami, il sied de constater que les sources de nourritures ont essentiellement deux origines; c’est-à-dire endogène (aquatique) et exogène (terrestre). La source endogène comprend les insectes et larves d’insectes (chironomidés), les vers, les crustacés (crabes, crevettes) et les poissons. Tandis que la source exogène comprend les grains et graines d’arbres, les insectes (fourmis), les racines et tiges d’arbres et les détritus.
L’analyse des contenus stomacaux montre l’importance prépondérante que prend la faune entomologique dans l’alimentation de ces poissons. Ils se nourrissent presque tous d’insectes. Une simplification extrême permet de distinguer du point de vue régime alimentaire, les groupes suivants:
• Les poissons exophages qui se nourrissent principalement des insectes qui tombent dans l’eau. C’est le cas par exemple de Characidae;
• Les poissons entomophages de fond tel est le cas de Clariidae, Synodontidae;
• Les poissons carnassiers riverains dont la nourriture comprend principalement les larves et adultes d’insectes et des crustacés; nous citons les Protopteridae et Channidae;
• Les poissons carnassiers mixtes dont la nourriture comprend des vertébrés (poissons), des gros invertébrés (crevettes, crabes) et des larves d’insectes, c’est le cas de la plupart de Claroteidae, Mochokidae.
La variation dans le régime alimentaire des poissons dépendrait ici de trois facteurs: l’âge, l’activité sexuelle et la saison. A propos de l’activité sexuelle, de nombreuses espèces non seulement peuvent changer leurs habitudes trophiques, généralement en élargissant et en variant leur régime. Par exemple, chez les Protoptères le mâle adopte un régime omnivore pendant qu’il garde le nid (Poll, 1967), mais souvent aussi ne mangent guère ou très peu durant la période du frai. Chez les Cichlidiae pratiquant l’incubation buccale (Oreochromis et Sarotherodon), la femelle ou le mâle ne mange pratiquement pas pendant la durée d’incubation buccale et peut considérablement maigrir. Certains poissons présentent même une atrophie intestinale partielle durant la période d’activité sexuelle, comme c’est le cas chez Phractolaemus (Wembodinga et al, 2013b).
CONCLUSION
Une étude sur le régime alimentaire des poissons de la rivière Lomami a été menée sur une période de 8 mois ; soit de Février à Octobre 2012 dans le territoire de Katako-kombe. L’idée soutenue dans cette étude a été que les poissons de la rivière Lomami auraient un régime alimentaire diversifié. Pour trouver les préférences alimentaires de l’ichtyofaune de la rivière Lomami, l’observation qualitative des contenus des estomacs de différents poissons capturés a été faite au laboratoire.
Les résultats obtenus ont révélé différents types de régimes alimentaires au sein des espèces capturées durant la recherche. Ainsi, les espèces Tilapia nyongana et Oreochromis niloticus sont phytophages à tendance omnivore. Les espèces Clarias angolensis et Chanallabes apus sont polyphage à tendance vorace. Le Chrysichthys wagenaarii est benthophage à tendance vorace et enfin le Mormyrops zanclirostris est polyphage à tendance herbivore.
Ces résultats en rapport avec le régime alimentaire de poissons capturés vont permettre aux pisciculteurs intéressés de faire le choix sur le type des poissons à élever, cela par rapport à la disponibilité de l’aliment local. Considérant que la présente recherche n’a pas couvert toute l’année, il est souhaitable que des études similaires se poursuivent au cours des quatre mois restants car hormis l’âge et l’activité sexuelle, la variation dans le régime alimentaire des poissons dépendrait aussi de la saison.
RÉFÉRENCES
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